Ghau, amulette pendentif bouddhiste tibetain, bouddha protecteur en fonction de son signe zodiacal, au choix, lievre, rat, buffle ou coq

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Il est de culture traditionnelle de donner un bouddha protecteur en fonction de son signe astrologique chinois.

Véritable Tangka Regong traditionnel
Le tangka est peint au temple de Longwu, appelé également Wutun. Lamaserie tibétaine située dans la préfecture tibétaine de Rebkong , province de l'Amdo ,appelé Huangnan dans la province du Qinghai en Chine et se trouve à 186 km de Xining.
Centre réputé de peinture de thangka tibétaines. Les arts Regong ont été inscrits en 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Les couleurs de ce tangka sont composées d'or pur et de minéraux broyés.

Le boitier refermant le tangka est composé d'argent 925 et de bronze
Le verso représente le mantra de la compassion "om mani padme hum" tournant grâce à un système de roulement à bille élaborée en Allemagne.

Dimension du pendentif
57mm de haut sur 38mm de large poids de 33 grammes
Livré avec un cordon artisanal tressé tibétain d'environ 34cm de long

Les vitres protectrices sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.

Livré dans un boitier haut de gamme comme le montre la video egalement disponible sur notre chaine youtube via ce lien
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1) BODHISATTVA MANJUSHRI (SIGNE DU LIEVRE)
Manjushri est le protecteur des gens nés sous le signe du lievre.

Manjushrî fut un disciple de Shâkyamuni dont il est, avec Samanta- bhadra, l’un des acolytes dans les groupes d’images appelées au Japon Shaka Sanzon, « les trois vénérables de Shâkyamuni ». C’est « Celui dont la beauté est charmante », le Bodhisattva « de vertu merveilleuse et de douce majesté ».
Important dans les bouddhismes mahāyāna et vajrayāna. On l'invoque pour, entres autres la reussite dans les etudes. Il représente la sagesse, l’intelligence et le pouvoir de l’esprit. « Son adoration confère la Sagesse divine, la maîtrise du Dharma, une mémoire fidèle, la perfection mentale, l’éloquence. Il aurait indéfiniment retardé son accession à l’état de Bouddha, mû par une compassion infinie qui le poussa à demeurer dans ce monde jusqu’à ce qu’il n’y reste plus un seul être à amener sur le chemin de l’illumination suprême.
Il est le protecteur des gens nés sous le signe du lievre/ lapin.
Les deux principaux emblèmes de Manjushri, le bodhisattva de la sagesse, sont l'épée enflammée et le sutra de la perfection, dans sa main gauche, près du cœur .L'épée enflammée représente l'intelligence pénétrante de Manjushri, qui tranche toutes les illusions, révélant la nature vide de toute chose. L'épée représente avant tout la sagesse, le discernement qui déchire les voiles de l'ignorance.
Manjushrî aurait été l’initiateur et le maître des Bouddha des âges passés. Il devrait également être celui du Bouddha du futur, Maitreya. « Manjushrî est le père et la mère des Bodhisattva, et il est leur ami spirituel .» Le Bouddha Lui-même décrit Manjushrî et fait son éloge dans le Manjushrîparinirvâna-sûtra. Ce Bodhisattva fut en conséquence très souvent représenté, tant en Inde qu’au Tibet, en Chine et au Japon, ainsi qu’au Népal dont il serait, selon la tradition, le fondateur venu de Chine. Ses images n’apparaissent que tardivement en Asie centrale et sur quelques stèles chinoises, associé à Vimalakîrti (jap. Yuima Koji) au VIe siècle.
Selon la légende népalaise, Majushri ouvrit la vallée de Kathmandu en taillant, d'un coup de son épée flamboyante, une brèche dans les montagnes encerclant la vallée. Le lac occupant cette dernière put ainsi se vider par les gorges de chobar, qui portent la marque de ce coup.
Le Mantra de Mañjuśrī le plus connu est Om Ah Ra Pa Tcha Na Dhih, Les syllabes-germes Dhih et Mum sont associées à Manjushri. Pour avoir une bonne mémoire ou développer son intelligence on s'adresse souvent au bodhisattva de la grande sagesse, et la récitation du mantra est très pratiquée en Chine.
Version longue: Namah samanta buddhānām. He he Kumāraka vimukti pathasthita smara smara pratijñā svāhā.
Son culte en Chine s'est développé à partir des Dynasties du Nord et du Sud (420 — 589) sur le mont Wutai (五台山 / 五臺山, wǔtáishān, « Montagne aux Cinq Terrasses »). Wutai Shan est l'une des quatre montagnes sacrées bouddhiques de Chine. Il culmine à 3 058 m au pic Yedou. Il est situé sur le territoire de la ville-préfecture de Xinzhou, dans la province du Shanxi, à seulement quelques dizaines de kilomètres au sud de l'une des cinq montagnes sacrées de Chine : le mont Heng et à moins de 300 km de Pékin. Il a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO le 26 juin 2009.

2)BODHISATTVA GUAN YIN SIGNE DU RAT

Le bodhisattva Avalokiteshvara (hindi अवलोकितेश्वर Avalokiteśvara « seigneur qui observe depuis le haut », chinois 觀世音 Guānshìyīn ou 觀音 Guānyīn, shanghaïen Kueu(sy)'in, coréen Gwanseeum 관세음, japonais 観音 Kan'non, tibétain Chenrezig, vietnamien Quán Thế Âm, indonésien Kwan Im, khmer លោកេស្វរ Lokesvara), est sans doute le grand bodhisattva le plus vénéré et le plus populaire parmi les bouddhistes du Grand véhicule. Il est aussi utilisé comme yidam (déité tutélaire) dans les méditations tantriques.

Bodhisattva protéiforme et syncrétique (il peut représenter tous les autres bodhisattva), incarnant la compassion ultime, il peut être féminin en Chine, en Corée, au Japon et au Vietnam, sous forme de Guan Yin.

Il est considéré comme le protecteur du Tibet où le roi Songtsen Gampo et plus tard les dalaï-lamas sont vus comme ses émanations. C'est aussi le cas d'autres tulkou comme le karmapa. Aussi nommé Padmapāṇi ou Maṇipadmā, il est invoqué par le célèbre mantra Om̐ Maṇipadme hūm (ॐ मणिपद्मेहूम्).
Chenrézi est le bodhisattva de l’amour et de la compassion. La poudja de Chenrézi a pour objectif de développer l’amitié pleine d’amour et la compassion pour tous les êtres vivants sans distinction. Chenrézi se manifeste sous différentes formes : le Chenrézi à 10 têtes et 1000 bras de la compassion est le plus connu : il promit à son père spirituel, le Bouddha Amitabha, de dépenser toute son énergie pour libérer tous les êtres vivants et de ne pas se reposer tant que tous les êtres vivants ne seraient pas délivrés de leur souffrance. S’il devait jamais douter de sa mission, ‘puissent alors ma tête se fragmenter en dix et mon corps en 1000’. Quand, après avoir médité de manière profonde et avoir récité sans arrêt le Mantra des Mani, il vit que l’océan de souffrances ne s’était toujours pas vidé, alors il tomba dans un profond désespoir et brisa sa tête en 10 et son corps en 1000. Le mantra aux six syllabes OM MANI PEME HOENG est le mantra le plus connu du Bouddhisme tibétain.

3) BODHISATTVA AKASHAGARBHA SIGNE DU BUFFLE
Akashagarbha est le protecteur des gens nés sous le signe du buffle et du tigre.

Il est l'un des huits grands boddhisattva du vajrayana. et l’un des treize bouddhas de l’école tantrique japonaise Shingon. Son nom est formé de ākāśa, « espace illimité », et de garbha, « matrice ». invoqué pour développer la sagesse.
Son culte s’est maintenu principalement au Japon.

Ākāśagarbha représente l’essence de l’éther et appartient sur les mandalas à la famille du ratna (joyau). Selon le Soutra d’Akashagarbha , on le prie vers l’est en attendant l’aube (aruņa) qui est sa manifestation. On dit aussi que la lune, le soleil et les étoiles sont ses manifestations. Compte tenu qu’une partie de son nom peut avoir le sens de « ciel », certains ont proposé de voir une divinité céleste ou stellaire à l’origine du bodhisattva.

Ce bodhisattva est associé à un rituel d'amélioration de la mémoire décrit dans le Soutra du bodhisattva Ākāśagarbha qui fut introduit au Japon durant la période Nara (645-794). De nos jours encore, nombreux sont ceux qui récitent son mantra dans l’espoir de revitaliser une mémoire défaillante. Sur l’île de Honshu, les enfants avaient l’habitude de rendre hommage à Kokuzo le jour de leurs treize ans pour solliciter l’amélioration de leurs capacités intellectuelles. On prie aussi Ākāśagarbha pour obtenir l’habileté manuelle ; il est considéré comme le patron des artisans.

En dehors de ses aspects utilitaires, le mantra de Kokûzô a aussi un effet spirituel. Il est récité pour développer la sagesse. Kukai, fondateur du bouddhisme Shingon, fit plusieurs fois son ascèse particulière, "le Goumanji" rituel de 100 jours consistant à répéter le mantra un million de fois dans l'isolement. À l'issue du 10e, il est dit que l'étoile de l'aube, que symbolise le bodhisattva, descendit se fondre en lui, lui apportant l'illumination.

Dernier sur la liste des Treize bouddhas du courant Shingon, Ākāśagarbha clôt aussi le cycle des rituels funéraires en présidant la dernière cérémonie commémorative 32 ans après le décès.

Ākāśagarbha a également une certaine importance dans le bouddhisme Nichiren. Le Seicho-ji (Kiyosumi-dera), temple où étudia le fondateur du courant, fut construit autour d’une statue de ce bodhisattva. Selon le Gosho, recueil de ses écrits, Nichiren vit un jour Kokûzô apparaître devant lui puis se changer en un vieux moine qui lui remit une perle de sagesse.

4) BOUDDHA ACALA (SIGNE DU COQ)
Acala, chef des Vidyaraja, les 5 rois de la connaissance et des sciences magiques bouddhistes.

Acala, Acalanātha, Achala, Fudō-Myōō en Japonais, Búdòng míngwáng en chinois (不动明王) , tibétain Miyowa.

Acala l'immuable ou « Acalanātha » le maître immuable, est une déité bouddhique du mikkyo, terme japonais signifiant« enseignement ésotérique », désigne le bouddhisme tantrique japonais. Il est pratiqué dans l'école Shingon et dans certaines branches de l'école Tendaï.

Egalement vénéré dans le tantrisme tibétain, mongol et chinois, feu le courant "Tangmi" pour ce dernier, supplanté par le lamaïsme dès la dynastie mongole des Yuans.

il est l'un des cinq Vidyaraja, rois du savoir et de la connaissance, seigneures des sciences magiques, dieux courroucés incarnés par des bouddhas et des bodhisattvas

Protecteurs du Dharma, combattant les démons, et effrayant les êtres souffrants et têtus, ayant des croyances fausses ou nihiliste.

Protecteurs des 5 Dhyani bouddha, ou bouddha de sagesse, appelés également Bouddha de méditation.

Acala, le chef des Vidyaraja ,est associé au feu et à la colère. Surtout représenté au Japon,

Acala, de son nom mystique Jôjû Kongô, "le diamant éternel et immuable", est le destructeur des passions. Dans l'ésotérisme, il est considéré comme un corps de métamorphose (Nirmânakâya) de Vairocana dont il personnifie la fermeté d'esprit et la volonté de détruire le mal.


Il a pour symbole un glaive tenu verticalement et autour duquel s'entoure un dragon entouré de flammes. Son halo de flammes censé consumer les passions. Il est décrit dans nombre de soutra notamment dans le Mahâvairochana- soutra.


Il assumerait, "à l'encontre des obstacles, l'énergie de l'adepte lui même", montrant ainsi la puissance de compassion de Vairocana. Son glaive lui sert à combattre les "trois poisons": avarice, colère et ignorance. De la main gauche il tient une corde (pâsha) pour attraper et lier les forces mauvaises et les empêcher de nuire. Acala ayant fait le voeu de prolonger de six mois la vie de ses fidèles et de leur donner une inébranlable résolution de vaincre les forces du mal, il est parfois, à ce titre, invoqué comme "prolongateur de la vie".

Au Tibet, Acala est appelé Achala- Vajrapani et est un Dharmapala (gardiens des enseignements). Il est représenté avec 4 têtes, quatre bras et et quatre jambes, piétinant les démons. Il tient le glaive, la corde, un vajra et une calotte crânienne.


Son visage exprime une colère extrême, sourcils froncés, œil gauche plissé ou regardant de travers, dents inférieures mordant la lèvre supérieure. Il a le physique d'un enfant corpulent (à ventre rond).

Ses canines sont saillantes, la droite pointant vers le haut, symbolisant le ciel et l'esprit, la gauche vers le bas, la terre et la matière.

Une aura de feu l'entoure complètement (les divinités pacifiques ont une aura semblable à une mer au repos). Il est assis sur un grand rocher symbolisant sa fermeté et sa détermination inébranlable. Il représente l’immuabilité.

Acala est dit être une divinité puissante qui protège les fidèles en brûlant tous les obstacles ( antaraya ) ( 障難 , Shonan ) et (souillures Klesa ) ( 雜染 , zōzen ) , en les aidant ainsi à l' illumination.


À l'origine la divinité Mahayana Acalanātha, dont le nom signifie «protecteur inamovible», Acala a été incorporée au vajrayana en tant que serviteur du Bouddha. Dans le Tangmi (Vajrayana chinois de l'ère Tang), son nom a été traduit par Budong "immobile" ( chin: 不 動 ; Búdòng ).

Puis, la divinité a été importée au Japon comme 不 動 (Fudō ) par Kukai (31 juillet 774 - 22 avril 835) érudit et fonctionnaire à la cour impériale Japonaise (tout début de l'époque de Heian) , saint fondateur de l'école bouddhiste ésotérique Shingon, lors de son voyage en Chine en 804, dans le but de s'initier la forme tantrique du Bouddhisme. Il y rencontra l'éminent érudit bouddhiste Pranja originaire de la région du Gandhara, berceau du Mahayana ou grand véhicule, région située dans le nord-ouest de l'actuel Pakistan. Kukai étudia en Chine en tant que membre de la mission kentoshi.

Des érudits tels que Miyeko Murase affirment que les origines de cette divinité bouddhiste résiderait dans la divinité hindouïste Shiva, auquel il emprunte de nombreux traits,en particulier ses attributs de destruction et de réincarnation.


La divinité a été populaire au cours du Moyen Âge et dans les temps modernes au Népal, au Tibet et au Japon où l'on trouve le plus souvent des représentations sculpturales et picturales de lui. Une grande partie de l'iconographie vient du Japon.

Dans le bouddhisme et l'art tibétains, le Bouddha Akshobya, dont le nom signifie également "l'immuable", préside le clan des divinités auquel appartient Ācala. D'autres sources se réfèrent à l'Acala et à Caṇḍaroṣaṇa comme une "émanation" d'Akshobhya, suggérant une assimilation plus poussée.


Acala évolue en une divinité invoquée dans les rituels bouddhistes pour "effrayer les dieux, les titans, les hommes et détruire la force des démons", et il tue tous les fantômes et les mauvais esprits.

Dans certains textes bouddhistes tels que le Sādhanamālā , les dieux hindous vishnu , Shiva , Brahma et Kandarpa, sont dits "maléfiques" car ils provoquent une renaissance sans fin , et ces dieux sont terrifiés par Acala parce qu'il porte une corde pour les attacher.

Dans les traditions bouddhistes népalaises et tibétaines,Visvajri devient la compagne d'Acala.

Dans les temples bouddhistes Shingon dédiés à Ācala, les prêtres exécutent le Fudō-hō ( 不 動 法 ) , ou service rituel pour obtenir le pouvoir de purification de la divinité au profit des fidèles. Ce rite implique systématiquement l'utilisation du rituel Homa (護 摩 , goma ) comme outil de purification. Rituel dans lequel toute offrande religieuse est transformée en feu.

Dans la mystique Shugendo, courant bouddhiste ésotérique japonais, Les laïcs ou moines en tenue yamabushi suivant une formation rigoureuse en plein air dans les montagnes prient souvent de petites statues Acala ou des talismans portables qui lui servent de honzon.


Ācala est également en tête de la liste des 13 bouddhas ( 十三 仏 , jūsan butsu ) ). Ainsi, les adeptes du Shingon en période de deuil assignent Acala aux sept premiers jours de service mortuaire.

La première semaine est une observation importante, mais peut-être pas autant que l'observation de "sept fois sept jours" (soit 49 jours) signifiant la fin de "l'état intermédiaire" ( bardo ).


Au Japon, Acala est devenu un foyer de culte à part entière, et a été installé comme honzon (本尊) ou divinité principale dans les temples et sanctuaires extérieurs. Un exemple célèbre est le Narita Fudō-dō, un temple de sous-secte Shingon à Narita San .


Le mantra récité en l'honneur de Fudō Myō-ō est en sanskrit

"Namaḥ samantavajrāṇāṃ, caṇḍamahāroṣaṇa sphoṭaya hūṃ traka hāṃ māṃ".

En japonais " Nōmaku samanda bazaradan sendamakaroshada sohataya hun tarata kan man "

MANTRA DE LA COMPASSION OM MANI PADME HUM
Selon le bouddhisme tibétain, le fait de réciter le mantra de Chenrezig Om Mani Padme Hum, à voix haute ou intérieurement, est une invocation à l’attention bienveillante et puissante de Chenrezig, l’expression de la compassion du Bouddha. Le fait de voir le mantra écrit peut avoir le même effet, c’est pour cela qu’on le retrouve à des endroits bien visibles, voir même gravé dans la pierre. Il peut également être invoqué à l’aide de moulins à prières sur lesquels le mantra est inscrit, parfois des milliers de fois. Il existe différents formats de moulins à prières : il y a ceux que l’on peut transporter avec soi et faire tourner d’une seule main, et il y en a d’autres qui sont si grands et si lourds qu’il faut plusieurs personnes pour les faire tourner. Selon les moines bouddhistes tibétains, le mantra Om Mani Padme Hum (Hung) réunit à lui seul l’ensemble des enseignements du Bouddha. Nous allons maintenant voir pas à pas le pouvoir de ce mantra de façon plus « technique ».

Chaque syllabe permet de fermer une porte de la réincarnation :

OM : Ferme la porte du monde des Devas (dieux). MA : Ferme la porte du monde des asuras (demi-dieux). NI : Ferme la porte du monde des humains. PAD : Ferme la porte du monde des animaux. ME : Ferme la porte du monde des pretas (« esprits avides »). HUNG : Ferme la porte de l’enfer.

Chaque syllabe purifie un voile :

OM : purifie le voile du corps. MA : purifie le voile de la parole. NI : purifie le voile de l’esprit. PAD : purifie le voile des émotions contradictoires. ME : purifie le voile de l’existence substantielle. HUNG : purifie le voile qui recouvre la connaissance.

Chaque syllabe est un mantra en elle-même :

OM : pour le corps des Bouddhas. MA : pour la parole des Bouddhas. NI : pour l’esprit des Bouddhas. PAD : pour les vertus des Bouddhas. ME : pour les accomplissements des Bouddhas. HUNG : pour la grâce du corps, de la parole, de l’esprit, de la vertu et de tous les accomplissements des Bouddhas.

Chaque syllabe correspond à l’un des six paradigmes ou perfectionnements transcendantaux :

OM : la générosité. MA : l’éthique. NI : la tolérance. PAD : la persévérance. ME : la concentration. HUNG : le discernement.

Chaque syllabe est également reliée à un Bouddha :

OM : Ratnasambhava. MA : Amaoghasiddi. NI : Vajradhara PAD : Vairocana. ME : Amitabha. HUNG : Akshobya.

Chaque syllabe du mantra nous purifie d’un défaut :

OM : l’orgueil. MA : l’envie / le désir de se divertir. NI : le désir passionnel. PAD : la bêtise / les préjugés. ME : la pauvreté / la possessivité. HUNG : l’agressivité / la haine.

Enfin, chaque syllabe correspond à l’une des six sagesses :

OM : la sagesse de la stabilité. MA : la sagesse toute accomplissante NI : la sagesse émanent de soi-même PAD : la sagesse toute embrassante (dharma) ME : la sagesse discriminante HUNG : la sagesse semblable à un miroir.

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