$366.94
ghau, gau amulette bouddha Acala (description ci dessous)
bouddhisme vajrayana tibetain et shingon Japonais.
Argent 925, plaqué or 24K,
Déité protégée par une vitre protectrice réalisée en leuco saphir comme les montres haut de gamme.
Turquoise d'Arizona
Agate nan hong (rouge du sud) du Yunnan, site de Baoshan. Cette agate exceptionnelle doit sa couleur rouge à la présence de cinabre.
En tant que gemmologue diplôme de l'Institut National de Gemmologie (ING), Paris, France. Toutes nos matières sont expertisées et certifiées par nos soins.
deux tailles disponibles
GRAND MODELE: 52.81mm de diamètre, 13.18mm d'épaisseur
Poids de 84 grammes
Roue de la vie tournante au verso
PETIT MODELE: 40.5mm de diamètre sur 9.5mm d'épaisseur
Poids de 39.7 grammes
Mantra de la compassion au verso (description ci dessous)
Livré avec un mala composé de 108 perles de coco, argent et cuivre.
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BOUDDHA ACALA
Acala, chef des Vidyaraja, les 5 rois de la connaissance et des sciences magiques bouddhistes.
Acala, Acalanātha, Achala, Fudō-Myōō en Japonais, Búdòng míngwáng en chinois (不动明王) , tibétain Miyowa.
Acala l'immuable ou « Acalanātha » le maître immuable, est une déité bouddhique du mikkyo, terme japonais signifiant« enseignement ésotérique », désigne le bouddhisme tantrique japonais. Il est pratiqué dans l'école Shingon et dans certaines branches de l'école Tendaï.
Egalement vénéré dans le tantrisme tibétain, mongol et chinois, feu le courant "Tangmi" pour ce dernier, supplanté par le lamaïsme dès la dynastie mongole des Yuans.
il est l'un des cinq Vidyaraja, rois du savoir et de la connaissance, seigneures des sciences magiques, dieux courroucés incarnés par des bouddhas et des bodhisattvas
Protecteurs du Dharma, combattant les démons, et effrayant les êtres souffrants et têtus, ayant des croyances fausses ou nihiliste.
Protecteurs des 5 Dhyani bouddha, ou bouddha de sagesse, appelés également Bouddha de méditation.
Acala, le chef des Vidyaraja ,est associé au feu et à la colère. Surtout représenté au Japon,
Acala, de son nom mystique Jôjû Kongô, "le diamant éternel et immuable", est le destructeur des passions. Dans l'ésotérisme, il est considéré comme un corps de métamorphose (Nirmânakâya) de Vairocana dont il personnifie la fermeté d'esprit et la volonté de détruire le mal.
Il a pour symbole un glaive tenu verticalement et autour duquel s'entoure un dragon entouré de flammes. Son halo de flammes censé consumer les passions. Il est décrit dans nombre de soutra notamment dans le Mahâvairochana- soutra.
Il assumerait, "à l'encontre des obstacles, l'énergie de l'adepte lui même", montrant ainsi la puissance de compassion de Vairocana. Son glaive lui sert à combattre les "trois poisons": avarice, colère et ignorance. De la main gauche il tient une corde (pâsha) pour attraper et lier les forces mauvaises et les empêcher de nuire. Acala ayant fait le voeu de prolonger de six mois la vie de ses fidèles et de leur donner une inébranlable résolution de vaincre les forces du mal, il est parfois, à ce titre, invoqué comme "prolongateur de la vie".
Au Tibet, Acala est appelé Achala- Vajrapani et est un Dharmapala (gardiens des enseignements). Il est représenté avec 4 têtes, quatre bras et et quatre jambes, piétinant les démons. Il tient le glaive, la corde, un vajra et une calotte crânienne.
Son visage exprime une colère extrême, sourcils froncés, œil gauche plissé ou regardant de travers, dents inférieures mordant la lèvre supérieure. Il a le physique d'un enfant corpulent (à ventre rond).
Ses canines sont saillantes, la droite pointant vers le haut, symbolisant le ciel et l'esprit, la gauche vers le bas, la terre et la matière.
Une aura de feu l'entoure complètement (les divinités pacifiques ont une aura semblable à une mer au repos). Il est assis sur un grand rocher symbolisant sa fermeté et sa détermination inébranlable. Il représente l’immuabilité.
Acala est dit être une divinité puissante qui protège les fidèles en brûlant tous les obstacles ( antaraya ) ( 障難 , Shonan ) et (souillures Klesa ) ( 雜染 , zōzen ) , en les aidant ainsi à l' illumination.
À l'origine la divinité Mahayana Acalanātha, dont le nom signifie «protecteur inamovible», Acala a été incorporée au vajrayana en tant que serviteur du Bouddha. Dans le Tangmi (Vajrayana chinois de l'ère Tang), son nom a été traduit par Budong "immobile" ( chin: 不 動 ; Búdòng ).
Puis, la divinité a été importée au Japon comme 不 動 (Fudō ) par Kukai (31 juillet 774 - 22 avril 835) érudit et fonctionnaire à la cour impériale Japonaise (tout début de l'époque de Heian) , saint fondateur de l'école bouddhiste ésotérique Shingon, lors de son voyage en Chine en 804, dans le but de s'initier la forme tantrique du Bouddhisme. Il y rencontra l'éminent érudit bouddhiste Pranja originaire de la région du Gandhara, berceau du Mahayana ou grand véhicule, région située dans le nord-ouest de l'actuel Pakistan. Kukai étudia en Chine en tant que membre de la mission kentoshi.
Des érudits tels que Miyeko Murase affirment que les origines de cette divinité bouddhiste résiderait dans la divinité hindouïste Shiva, auquel il emprunte de nombreux traits,en particulier ses attributs de destruction et de réincarnation.
La divinité a été populaire au cours du Moyen Âge et dans les temps modernes au Népal, au Tibet et au Japon où l'on trouve le plus souvent des représentations sculpturales et picturales de lui. Une grande partie de l'iconographie vient du Japon.
Dans le bouddhisme et l'art tibétains, le Bouddha Akshobya, dont le nom signifie également "l'immuable", préside le clan des divinités auquel appartient Ācala. D'autres sources se réfèrent à l'Acala et à Caṇḍaroṣaṇa comme une "émanation" d'Akshobhya, suggérant une assimilation plus poussée.
Acala évolue en une divinité invoquée dans les rituels bouddhistes pour "effrayer les dieux, les titans, les hommes et détruire la force des démons", et il tue tous les fantômes et les mauvais esprits.
Dans certains textes bouddhistes tels que le Sādhanamālā , les dieux hindous vishnu , Shiva , Brahma et Kandarpa, sont dits "maléfiques" car ils provoquent une renaissance sans fin , et ces dieux sont terrifiés par Acala parce qu'il porte une corde pour les attacher.
Dans les traditions bouddhistes népalaises et tibétaines,Visvajri devient la compagne d'Acala.
Dans les temples bouddhistes Shingon dédiés à Ācala, les prêtres exécutent le Fudō-hō ( 不 動 法 ) , ou service rituel pour obtenir le pouvoir de purification de la divinité au profit des fidèles. Ce rite implique systématiquement l'utilisation du rituel Homa (護 摩 , goma ) comme outil de purification. Rituel dans lequel toute offrande religieuse est transformée en feu.
Dans la mystique Shugendo, courant bouddhiste ésotérique japonais, Les laïcs ou moines en tenue yamabushi suivant une formation rigoureuse en plein air dans les montagnes prient souvent de petites statues Acala ou des talismans portables qui lui servent de honzon.
Ācala est également en tête de la liste des 13 bouddhas ( 十三 仏 , jūsan butsu ) ). Ainsi, les adeptes du Shingon en période de deuil assignent Acala aux sept premiers jours de service mortuaire.
La première semaine est une observation importante, mais peut-être pas autant que l'observation de "sept fois sept jours" (soit 49 jours) signifiant la fin de "l'état intermédiaire" ( bardo ).
Au Japon, Acala est devenu un foyer de culte à part entière, et a été installé comme honzon (本尊) ou divinité principale dans les temples et sanctuaires extérieurs. Un exemple célèbre est le Narita Fudō-dō, un temple de sous-secte Shingon à Narita San .
Le mantra récité en l'honneur de Fudō Myō-ō est en sanskrit
"Namaḥ samantavajrāṇāṃ, caṇḍamahāroṣaṇa sphoṭaya hūṃ traka hāṃ māṃ".
En japonais " Nōmaku samanda bazaradan sendamakaroshada sohataya hun tarata kan man "
OM MANI PADME HUM
Selon le bouddhisme tibétain, le fait de réciter le mantra de Chenrezi Om Mani Padme Hum, à voix haute ou intérieurement, est une invocation à l’attention bienveillante et puissante de Chenrezig, l’expression de la compassion du Bouddha. Le fait de voir le mantra écrit peut avoir le même effet, c’est pour cela qu’on le retrouve à des endroits bien visibles, voir même gravé dans la pierre. Il peut également être invoqué à l’aide de moulins à prières sur lesquels le mantra est inscrit, parfois des milliers de fois. Il existe différents formats de moulins à prières : il y a ceux que l’on peut transporter avec soi et faire tourner d’une seule main, et il y en a d’autres qui sont si grands et si lourds qu’il faut plusieurs personnes pour les faire tourner. Selon les moines bouddhistes tibétains, le mantra Om Mani Padme Hum (Hung) réunit à lui seul l’ensemble des enseignements du Bouddha.
Chaque syllabe permet de fermer une porte de la réincarnation :
OM : Ferme la porte du monde des Devas (dieux). MA : Ferme la porte du monde des asuras (demi-dieux). NI : Ferme la porte du monde des humains. PAD : Ferme la porte du monde des animaux. ME : Ferme la porte du monde des pretas (« esprits avides »). HUNG : Ferme la porte de l’enfer.
Chaque syllabe purifie un voile :
OM : purifie le voile du corps. MA : purifie le voile de la parole. NI : purifie le voile de l’esprit. PAD : purifie le voile des émotions contradictoires. ME : purifie le voile de l’existence substantielle. HUNG : purifie le voile qui recouvre la connaissance.
Chaque syllabe est un mantra en elle-même :
OM : pour le corps des Bouddhas. MA : pour la parole des Bouddhas. NI : pour l’esprit des Bouddhas. PAD : pour les vertus des Bouddhas. ME : pour les accomplissements des Bouddhas. HUNG : pour la grâce du corps, de la parole, de l’esprit, de la vertu et de tous les accomplissements des Bouddhas.
Chaque syllabe correspond à l’un des six paradigmes ou perfectionnements transcendantaux :
OM : la générosité. MA : l’éthique. NI : la tolérance. PAD : la persévérance. ME : la concentration. HUNG : le discernement.
Chaque syllabe est également reliée à un Bouddha :
OM : Ratnasambhava. MA : Amaoghasiddi. NI : Vajradhara PAD : Vairocana. ME : Amitabha. HUNG : Akshobya.
Chaque syllabe du mantra nous purifie d’un défaut :
OM : l’orgueil. MA : l’envie / le désir de se divertir. NI : le désir passionnel. PAD : la bêtise / les préjugés. ME : la pauvreté / la possessivité. HUNG : l’agressivité / la haine.
Enfin, chaque syllabe correspond à l’une des six sagesses :
OM : la sagesse de la stabilité. MA : la sagesse toute accomplissante NI : la sagesse émanent de soi-même PAD : la sagesse toute embrassante (dharma) ME : la sagesse discriminante HUNG : la sagesse semblable à un miroir.
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