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Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinité d’élection du possesseur est gardée. La grande majorité des Tibétains utilisent le ghau à la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un véritable autel à la maison. Lors des voyages, elle est accrochée à la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet également à son possesseur de prouver sa dévotion à sa déité.
Ghau, gau.
Pendentif bouddhiste tibetain,
Tangka peint artisanalement par peintres tibétains installés au Nepal spécialisés dans les peintures sacrées du bouddhisme comme le montre la vidéo également disponible sur notre chaine youtube, via ce lien
https://youtu.be/6NZ2cFju7rU
Déité Vajrapani. (description de la déité, ci dessous)
Boitier en laiton.
8 Signes auspicieux du bouddhisme au verso (Description et explication ci dessous)
Dimensions du ghau: 64mm de haut sur 41.5mm de largeur sur 9mm d'épaisseur.
Poids de 38 grammes.
Livré avec un cordon rouge de 34cm (possibilité de changer le cordon, nous contacter.
Pour decouvrir l'ensemble de notre collection "protections bouddhistes", veuillez cliquer sur ce lien
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VAJRAPANI
Vajrapāni est un mot composé en sanskrit dans lequel «Vajra» signifie «diamant ou foudre» et «pāni» signifie «en main»
Vajrapani est l'un des premiers bodhisattvas apparusdans le bouddhisme Mahayana . Il est le protecteur et le guide du Bouddha Gautama et s'est levé pour symboliser le pouvoir du Bouddha.
Vajrapāni est largement représenté dans l'iconographie bouddhiste comme l'une des trois premières divinités protectrices ou bodhisattvas entourant le Bouddha. Chacun d'eux symbolise l'une des vertus du Bouddha: Manjushri manifeste toute la sagesse des Bouddhas, Avalokiteśvara manifeste toute l'immense compassion des Bouddhas, et Vajrapāni protège Bouddha et manifeste toute la puissance des Bouddhas.
Vajrapāni est l'un des premiers Dharmapalas du bouddhisme Mahayana et apparaît également comme une divinité dans le Canon Pali de l' école Theravada . Il est vénéré dans le monastère de Shaolin , dans le bouddhisme tibétain et dans le bouddhisme de la Terre Pure (où il est connu sous le nom de Mahasthamaprapta et forme une triade avec Amitābha et Avalokiteśvara ). Des manifestations de Vajrapāni peuvent également être trouvées dans de nombreux temples bouddhistes au Japon en tant que protecteurs du Dharma appelés Nio . Vajrapāni est également associé à Acala , vénéré sous le nom de Fudō-Myōōau Japon, où il est vénéré en tant que détenteur du vajra.
Ce tangka le représente sous sa forme Acharya. manifestation de Vajrapani en tant que Dharmapala , arborant un troisième œil, ghanta (cloche) et pāśa (lasso).
L'expression de Vajrapāni est courroucée, pour générer «la peur chez l'individu de relâcher son dogmatisme». Sa main droite tendue brandit un vajra , "symbolisant la connaissance analytique ( jñanavajra ) qui désintègre la saisie de la conscience.
Il porte une couronne de bodhisattva à cinq pointes pour représenter le pouvoir des cinq Bouddhas Dhyani (l'état pleinement éveillé du Bouddha).
Son cou est orné d'un collier de serpents et sa taille d'une peau de tigre.
En marchant vers la droite, sa main levée tient un vajra.
Dans les premières légendes bouddhistes, Vajrapāni est une divinité mineure qui a accompagné Gautama au cours de sa carrière de mendiant errant. Dans certains textes, il est dit être une manifestation de Śakra , roi du paradis Trāyastriṃśa de la cosmologie bouddhiste et hindoue et dieu de la pluie tel que représenté dans les idoles du Gandharva . Comme akra, on dit qu'il était présent lors de la naissance de Tathagata. En tant que Vajrapāni, il était le dieu qui a aidé Gautama à s'échapper du palais au moment de sa renonciation. Lorsque Sakyamuni est revenu de Kapilavastu, il aurait pris huit formes de dévas qui l’ont escorté.
Vajrapāni est considéré comme une manifestation de Vajradhara et du «réflexe spirituel», le Dhyani Bodhisattva d'Akshobhya. Au niveau populaire, Vajrapāni est le bodhisattva qui représente la puissance de tous les bouddhas tout comme Avalokiteśvara représente leur grande compassion et Mañjuśrī leur sagesse. Il est appelé le Maître des Mystères Insondables qui soutient la vérité même dans les adversités des ténèbres et de l'ignorance.
Selon les Pañcaviṃsatisāhasrikā- et Aṣṭasāhasrikāprajñāpāramitā s , tout bodhisattva sur le chemin de la bouddhéité est éligible à la protection de Vajrapāni, ce qui le rend invincible à toute attaque "par des hommes ou des fantômes".
LES 8 SIGNES AUSPICIEUX DU BOUDDHISME
Les 8 signes auspicieux du bouddhisme ou Astamangala étaient à l’origine un ensemble d’offrandes indiennes présentées à un roi à son investiture. Le jaïnisme a d’abord repris ces symboles de bon augure probablement avant le bouddhisme.
Dans la tradition bouddhiste, ces 8 signes de bon augure représentent les offrandes présentées par les grands dieux védiques – une civilisation antique d’Inde à l’origine de l’hindouisme – au Bouddha Siddharta après son Eveil. Brahma fut le premier de ces dieux à apparaître avant même la naissance du Bouddha en lui présentant une roue à mille rayons d’or, comme une demande symbolique au Bouddha de transmettre ses enseignements en « tournant la roue du Dharma ». Indra, Seigneur du Ciel et dieu de la guerre et de l’orage – et accessoirement roi des dieux – apparut en suivant, offrant la conque blanche pour que le Bouddha « proclame la vérité du Dharma ».
Dans la tradition bouddhiste, les huit signes auspicieux forment le corps de Bouddha.
le parasol représente sa tête,
les deux poissons ses yeux,
le vase son cou,
le lotus sa langue,
la roue en or ses pieds,
la bannière de la victoire son corps,
la conque sa parole
le nœud sans fin son esprit.
Dans la première forme de bouddhisme indien, le Bouddha était peint de manière aniconique, c’est-à-dire sans être représenté sous une forme humaine, généralement par un trône vide sous un parasol et sous l’arbre de la Bodhi ou par une pierre marquée de ses divines empreintes, qui renferment plusieurs symboles auspicieux comme les insignes de la divinité du Bouddha : la bannière de la victoire, le trône de lion, le trident, les Trois Joyaux, le nœud éternel, le svastika, la conque, la paire de poissons et les plus commun, le lotus et la roue.
Le Nœud sans Fin ou Nœud infini tibétain est un symbole bouddhiste qui représente le mouvement de ce qui est éternel, des chemins spirituels qui s’entrelacent et du temps.
La forme du Nœud sans Fin est évocatrice de la sagesse et la compassion dans le bouddhisme tibétain. Le haut et le bas du symbole symbolisent l’interaction des forces opposées et duelles, qui finalement se rejoignent et s’unissent dans l’univers.
Le nœud infini tibétain représente également l’inséparabilité du Vide et la réalité de l’existence.
Enfin, puisque le Nœud n’a ni début ni fin, on le définit aussi comme la Sagesse de Bouddha
Instrument traditionnel du Tibet, la conque est considérée comme étant le symbole de la puissance de la parole du bouddha. La conque dextrogyre s´enroule vers la droite et est la plus rare et la plus propice a la pratique du bouddhisme tibétain. Elle symbolise le son du Dharma qui éveille les êtres du sommeil de l’Ignorance, les incitant ainsi à accomplir leur propre bien pour le bien des autres. Elle est également la protection du Joyau du Dharma, la progression d'étapes en étapes vers la réalisation ultime, l'Eveil ou Illumination.
La roue du Dharma reste le symbole le plus important du bouddhisme tibétain, il symbolise la loi bouddhiste ainsi que l’enseignement du Bouddha qui fût le premier à mettre en mouvement cette Roue. La Roue du Dharma représente l’éternel mouvement du cycle des renaissances (ou karma). C’est également la continuité des enseignement du Bouddha, sous toutes ses formes et dans toutes les directions, enseignement qui mènent au Bonheur et à la libération
On représente souvent la Roue du Dharma avec quatre ou huit branches, incarnant les Quatre Nobles Vérités et les Huit Marches.
Symbole de pureté absolue et de l’Eveil, emblème de l’élévation spirituelle, le lotus a la particularité de prendre racine dans la vase ou la boue, sa tige baignant dans l’eau tandis que sa fleur s’épanouit majestueusement sur l’eau.
Le lotus représente l’élévation de l’âme, d’abord purement matérialiste au travers de ses racines, puis goûtant l’expérience de l’eau au travers de sa tige, pour enfin parvenir à l’illumination et l’éveil au travers de sa fleur.
Les bouddhistes tibétains voient au travers du Lotus la véritable nature des Etres, la tige étant le samsara (cycles des vies et morts), la fleur symbolisant la paix et la sérénité.
La bannière de victoire tibétaine est le symbole de l’enseignement de Bouddha, le triomphe sur l’Ignorance, la doctrine de Bouddha sur les forces du Mal : la passion, la peur de la mort, la fierté et la luxure.
Elle symbolise particulièrement le renoncement du Bouddha à toutes les perturbations mentales et apparences illusoires du samsara.
Le vase aux Trésors représente une multitude de richesses, intellectuelles et de prospérité. C’est un symbole tibétain de longue vie et d’abondance.
Il symbolise également la discipline morale, l'étude et la mise en pratique du Dharma, notamment par le bien que l'on peut porter aux autres et le développement de l'altruisme.
Lorsque vous portez un bijou tibétain représentant le vase aux trésors (ce n’est pas par hasard si ces pendentifs sont souvent dit « ghau » ou « gao », tout simplement parce qu’on peut les remplir), pensez à glisser à l’intérieur tout ce que vous pensez être bénéfique pour vous et tous les êtres vivants. Cela peut être des mantras tibétains, ou des photos de personnes qui sont particulièrement importantes pour vous, ou des pensées ou prières…
A l’origine, les deux poissons étaient le symbole de la rivière Yamuna et du Gange, mais ils sont devenus le symbole de la bonne fortune par la suite pour les hindous et les bouddhistes.
Chez les bouddhistes tibétains, le poisson d’Or représente les êtres vivants qui pratiquent le dharma, et qui ne doivent pas craindre de se noyer dans l’océan de souffrance, puisqu’ils peuvent librement nager comme le font les poissons dans l’eau, afin de choisir leurs renaissances.
Le parasol symbolise l'activité qui protège des hommes de tous les maux : maladies, accidents, esprits malins. Elle protège également les êtres des mondes inférieurs. Dans le bouddhisme tibétain, l’ombrelle nous protège contre la souffrance. L’ombrelle tibétaine est garante de la sagesse.
D'un point de vue bouddhiste, l'ombrelle représente une forme de protection et de bienvenue envers quiconque aimerait entrer dans la voie du Dharma et progresser sur le chemin de l'Illumination.
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