Mala tibétain chapelet bouddhiste traditionnel 108 perles de graines de pipal (figuier sacré) DZI amulette Yamatanka tantra de kalachakra

Réalisé sur commande.Temps de confection après commande environ 3 semaines

Le mala, trengwa, en tibétain est le rosaire du bouddhiste, l'objet dont le moine (voire le pratiquant laïc) ne se sépare presque jamais, le tenant à la main ou enroulé autour du poignet.
Le mala est tout d'abord un onjet utilitaire: il sert de support tactile à la récitation des mantras, en même temps qu'il est utilisé pour les compter si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini.
Le mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il signifie simplement "guirlande" (de perles). Les différents composants recèlent chacun une signification symbolique précisent: La grosse perle (ou tete de bouddha) qui clôt la boucle repésente la connaissance de la vacuité. Le petit cône qui la surmonte est la marque de la vacuité elle-même.

Bouddha ayant atteint l'illumination sous un figuier sacré, les graines de pipal sont la matière la plus traditionnelle pour confectionner des malas. Ces graines se patinent et prennent une belle brillance avec le temps appelée "couche de porcelaine". Nos graines proviennent de l'ile de Hainan connue pour cultiver et sécher la plus belle qualité au monde. Attention bon nombre de site et de magasins spécialisés nomment ces graines comme graines de Lotus par erreur.

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos pierres sont expertisées et certifiés.

En tant que Malakara, nous confectionnons nous même l'ensemble de nos malas en respectant scrupuleusement la tradition.

Toute notre collection de mala est visible et accessible en cliquant sur ce lien
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Mala, chapelet bouddhiste
108 perles, graines de bodhi (figuier sacré).
Diamètre de chaque perle: 8mm sur 10mm
DZI (agate sacrée du Tibet)
malachite du Congo
amulette de Yamatanka argent 925 plaqué or 18K tantra de kalachakra au verso.
Perle Guru de finition en cornaline
Possibilité d'installer une autre amulette, nous contacter par messagerie
Toutes nos amulettes sont consultables via ce lien
https://www.dongmeietjeremyzg.com/shop/23827698/protections-bouddhistes

Longueur du mala: 52cm

Temps de réalisation 07 jours après commande.

Monté par nos soins sur cordelette traditionnelle tressée representant les 5 couleurs des 5 bouddha de meditations

Video également disponible sur notre chaine youtube via ce lien
https://youtu.be/xngQq4dPb0o

DZI à 5 YEUX
Les 5 yeux sont un élément magique très recherché. Il aide à obtenir ce que l’on désire, c’est donc une pièce prisée. Les 5 yeux rappellent la foudre et le tonnerre, des éléments qui mettent fin à l’ignorance. Il s’agit d’un éclaircissement. Cette perle amènerait un bonheur sans fin.

Le Dzi est une perle tibétaine, d’origine lointaine, apportant de nombreux bénéfices mystiques et bienfaits à son porteur. C’est un talisman ou amulette tibétaine, le roi des porte-bonheur, parfois vénéré comme une véritable divinité. Le succès de la perle tibétaine vient de ses multiples yeux, pouvant aller jusqu’à 21.
Toutes les explications egalement sur notre blog
https://www.dongmeietjeremyzg.com/post/543620937587/les-dzis-ou-agates-sacrees-du-tibet

Amulette de protection bouddhiste tibetain, Yamantaka, , argent 925, grenats, argent plaqué or 18K, Tantra de Kalachakra gravé au dos.
L'amulette seule est vendue séparement sa fiche est disponible via ce lien
https://www.dongmeietjeremyzg.com/listing/637651981/amulette-de-protection-bouddhiste
Dimensions : 45/35 mm
Poids total de 45 grammes
Yamāntaka st un Yidam du bouddhisme tantrique ou Vajrayana, populaire dans l'école Gelugpa du Bouddhisme tibétain. Il est un des 8 grands Heruka et un Dharmapala (protecteur du Dharma).
Yamāntaka est l'aspect courroucé de Mañjushrî, le grand Bodhisattva de la sagesse. Il est connu aussi sous l'aspect de Vajrabhairava (Terreur Adamantine).

Son nom est un mot sanskrit qui peut être coupé en deux éléments : Yama, le nom du Dieu de la mort, et antaka: qui met fin à, terminateur). Ainsi, le nom de Yamāntaka signifie littéralement "terminateur de la mort".

Mañjushrî est la sagesse non-duelle qui met fin à la fragmentation dualiste des phénomènes liés à l'ignorance. Jaillis de la Base primordiale, les phénomènes sont fondamentalement non-nés, mais sous l'emprise de l'ignorance et de l'attachement au moi, ils s'élèvent en tant que samsâra et nirvâna. « Constitués » par l'illusion en phénomènes composés et impermanents, ils sont alors soumis à la naissance et à la mort Pour mettre fin à la mort, Mañjushrî prend la forme terrible de Yamāntaka, qui révèle la sagesse de la vacuité et récapitule le jeu du multiple dans la non-dualité.

Positionné à l'ouest dans le mandala de la matrice, taizokai du bouddhisme shingon. Il assiste le bouddha Amitābha, lequel est traditionnellement relié au monde des morts en Asie.