$253.14
pendentif, reliquaire, ghau, bouddha medecine, Bhaishajyaguru
Bouddhisme vajrayana tibetain, shingon japonais
Phurba, dague pour vaincre les demons au verso.
Turquoise de la province du Hubei
Agate dite "nan hong" (rouge du sud) de la province du Yunnan. Cette agate volcanique peu commune doit son intense couleur rouge intense a sa teneur naturelle en cinabre
En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie (ING), Paris, France. Toutes nos matières sont expertisées et certifiées par nos soins.
Argent 925 poinçonné
Déité argent plaqué or 18k
La vitre protectrice sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.
Le couvercle est ouvrant permettant de toucher la déité
Livré avec un cordon réglable.
Livré dans une boite en bois sur mesure.
Dimension du Ghau: 50mm de haut sur 31mm de large sur 10mm d'épaisseur
Poids de 35 grammes.
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Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinité d’élection du possesseur est gardée, enveloppée dans des vêtements de soie. La grande majorité des Tibétains utilisent le ghau à la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un véritable autel à la maison. Lors des voyages, elle est accrochée à la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet également à son possesseur de prouver sa dévotion à sa déité.
BOUDDHA MEDECINE
Sa carrière de bodhisattva est décrite dans le Bhaiṣajyaguru-sūtra, Il a fait douze vœux, dont deux expriment spécifiquement son désir de guérir et de sauver. Il devint bouddha dans un monde nommé Vaidūryanirbhāsa ou « Semblable au lapis-lazuli ».
situé à l’Est, où il est accompagné des bodhisattvas Sūryaprabha (Clarté solaire), à sa gauche et Candraprabha (Clarté lunaire) à sa droite. En Chine, on se réfère à la version du sūtra traduite par Xuanzang : Bhaiṣajya guru Vaidūrya Prabhāsa Pūrva praṇidhāna viśeṣa vistara (Yàoshī liúlíguāng rúlái běnyuàngōngdé jīng 《藥師琉璃光如來本願功德經》).
Comme Akshobhya, Bhaiṣajyaguru est maître d'un « paradis oriental » et peut former une paire avec Amitābha, maître du « paradis occidental » Sukhāvatī. Le paradis d’Amitābha est d’ailleurs mentionné dans le Bhaiṣajyaguru sūtra.
Selon le Sapta tathāgata-Pūrva praṇidhāna viśeṣa vistara (Soutra du vœu des sept tathāgatas) , Bhaśajyaguru possède sept émanations représentant sept modalités différentes de guérison ou de protection.
Au Tibet son image peut servir de support de méditation pour vaincre l’attachement et les sentiments négatifs.
le Bouddha de la Médecine ou Sangyé Menla (en Tibétain) est une divinité tantrique du Bouddhisme tibétain.
La méditation tantrique de Sangyé Menla a été introduite au Tibet au viiie siècle par Shantarakshita. Cette méditation a été synthétisée au xixe siècle par Jamgon Kongtrul Lodrö Thayé. Son mantra est considéré comme ayant une grande force contre les maladies physiques ou pour purifier un karma négatif.
Au Japon, Yakushi Nyorai fait l’objet d’un culte important au Japon depuis le viie siècle où il a supplanté Akṣobhya (Ashuku). Situé à l'est il représente plutôt le soleil levant, la vie, tandis qu'Amida qui se trouve à l'ouest est relié au soleil couchant et au monde des morts.
Patronné par l’école Tendai qui entretenait des relations étroites avec la famille impériale, ce bouddha maître de l'Orient fut associé à l’empereur. Il a parfois été identifié à Jizo. Il est le 7e des treize bouddhas de la tradition du bouddhisme shingon, et en tant que tel est associé aux rites funéraires qui ont lieu à l'issue des 49 jours après le décès.
Dans les représentations, et les mandalas particuliers qui lui sont consacrés, il est assisté par Nikko le boddhisattva de la lumière solaire et gakko de la lumière lunaire. Il est aussi protégé et servi par 12 généraux célestes, des yakshas qui peuvent avoir plusieurs significations, comme les heures, les mois, les directions, etc. Néanmoins il ne figure pas sur les mandalas taizōkai et kongōkai car son culte n’est pas d'origine tantrique. Parmi les nombreux temples qui lui sont consacrés, le plus célèbre est le Yakushi-ji de Nara. Dans cette même ville, le Hōryū-ji et le Tō-ji abritent également une statue du Bouddha de la médecine, celle du Hōryū-ji datant du milieu du viie siècle.
En Chine, il est révéré pour ses vertus de guérisseur et de protecteur contre les calamités.
Le rite le plus courant consiste à lire 49 fois son vœu, à allumer 49 lampes votives et à étendre 49 jours de suite des Drapeaux de prières en papier.
Il existe très peu de temples qui lui sont exclusivement consacrés. Le groupe des huit bouddhas médecins, ses sept émanations accompagnées de Shākyamuni, peut être remplacé par un autre groupe comprenant Manjushri, Maitreya, Avalokiteśvara, Mahāsthāmaprāpta, Akṣayamati, Ratnacandanapuṣpa, Bhaiṣajyarāja, et Bhaiṣajyasamudgata, (文殊師利 ; 彌勒; 觀世音 ; 大勢至 ; 無盡意 ; 寶檀華 ; 藥王 ; 藥上).
LE PHURBA
Le Phurba est une dague pour vaincre les démons. Elle fut introduite dans le bouddhisme tibétain par Phadmasambhava et est un symbole de transmutation des forces négatives.
Souvent faite de pierres, d’os, ou encore de fer, les dagues de Phurba des temples tibétains Bouddhisme sont facilement reconnaissables par leur lame à triple face. Utilisé dans les rituels pour chasser les esprits indésirables, le Phurba agit de manière spirituelle pour immobiliser les esprits démoniaques et parfois les tuer dans l’espoir qu’ils se réincarnent en de meilleurs lieux.
Chaque composant du Phurba a sa propre signification. La lame de la dague représente la méthode, avec chacun des trois côtés représentant les mondes à trois esprits. La pointe les réconciliant tous les trois pour former un axe mondial harmonieux. La conception à triple-lames est également destinée à transformer simultanément les trois poisons du monde en énergies positives. Ces poisons sont l’ignorance, l’avidité et l’agression. Des ennemis du Bouddhisme qui peuvent exiger une vie entière à surmonter dans la quête de l’éclaircissement. La lame est souvent vue comme indestructible et allumé avec un feu pour brûler au-dessus de la haine.
La poignée du Phurba représente la sagesse et est souvent modelée comme un bulbe à huit faces avec des nœuds symétriques à chaque extrémité. Il existe diverses interprétations à la présence de ces nœuds. De la conviction que le Nirvana est enfermé à l’intérieur, à la croyance que les différentes sections des nœuds contiennent les paradis de plusieurs dieux. En allant jusqu’au désir d’une forme informe, représentant le fait d’être informe au royaume des Bouddhas.
Le sommet de la poignée affiche souvent les trois divinités courroucées de Yamantaka, Amrita Kundalini, et Hayagriva. Yamantaka, le visage de couleur blanche, symbolise le corps et la destruction de la haine. Amrita, le visage coloré en bleu, symbolise l’esprit et la destruction de l’illusion. Hayagriva, le visage de couleur rouge, symbole de la parole et la destruction de la cupidité.
Dans de nombreuses illustrations, la dague de Phurba est représentée sous une forme simple, en raison de sa petite taille. Cependant, dans sa forme tridimensionnelle, cette lame minuscule est le plus souvent représentée avec de nombreux symboles bouddhistes et démontre sa concentration sur la purge du mal.
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