$252.00
pendentif, reliquaire, ghau, bodhisattva Akashagarbha.
Bouddhisme vajrayana tibetain, shingon japonais
Phurba, dague pour vaincre les demons au verso.
Turquoise de la province du Hubei
Agate dite "nan hong" (rouge du sud) de la province du Yunnan. Cette agate volcanique peu commune doit son intense couleur rouge intense a sa teneur naturelle en cinabre
En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie (ING), Paris, France. Toutes nos matières sont expertisées et certifiées par nos soins.
Argent 925 poinçonné
Déité argent plaqué or 18k
La vitre protectrice sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.
Le couvercle est ouvrant permettant de toucher la déité
Livré avec un cordon réglable.
Livré dans une boite en bois sur mesure.
Dimension du Ghau: 50mm de haut sur 31mm de large sur 10mm d'épaisseur
Poids de 35 grammes.
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Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinité d’élection du possesseur est gardée, enveloppée dans des vêtements de soie. La grande majorité des Tibétains utilisent le ghau à la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un véritable autel à la maison. Lors des voyages, elle est accrochée à la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet également à son possesseur de prouver sa dévotion à sa déité.
BODHISATTVA AKASHAGARBHA
Akashagarbha est le protecteur des gens nés sous le signe du buffle et du tigre.
Il est l'un des huits grands boddhisattva du vajrayana. et l’un des treize bouddhas de l’école tantrique japonaise Shingon. Son nom est formé de ākāśa, « espace illimité », et de garbha, « matrice ». invoqué pour développer la sagesse.
Son culte s’est maintenu principalement au Japon.
Ākāśagarbha représente l’essence de l’éther et appartient sur les mandalas à la famille du ratna (joyau). Selon le Soutra d’Akashagarbha , on le prie vers l’est en attendant l’aube (aruņa) qui est sa manifestation. On dit aussi que la lune, le soleil et les étoiles sont ses manifestations. Compte tenu qu’une partie de son nom peut avoir le sens de « ciel », certains ont proposé de voir une divinité céleste ou stellaire à l’origine du bodhisattva.
Ce bodhisattva est associé à un rituel d'amélioration de la mémoire décrit dans le Soutra du bodhisattva Ākāśagarbha qui fut introduit au Japon durant la période Nara (645-794). De nos jours encore, nombreux sont ceux qui récitent son mantra dans l’espoir de revitaliser une mémoire défaillante. Sur l’île de Honshu, les enfants avaient l’habitude de rendre hommage à Kokuzo le jour de leurs treize ans pour solliciter l’amélioration de leurs capacités intellectuelles. On prie aussi Ākāśagarbha pour obtenir l’habileté manuelle ; il est considéré comme le patron des artisans.
En dehors de ses aspects utilitaires, le mantra de Kokûzô a aussi un effet spirituel. Il est récité pour développer la sagesse. Kukai, fondateur du bouddhisme Shingon, fit plusieurs fois son ascèse particulière, "le Goumanji" rituel de 100 jours consistant à répéter le mantra un million de fois dans l'isolement. À l'issue du 10e, il est dit que l'étoile de l'aube, que symbolise le bodhisattva, descendit se fondre en lui, lui apportant l'illumination.
Dernier sur la liste des Treize bouddhas du courant Shingon, Ākāśagarbha clôt aussi le cycle des rituels funéraires en présidant la dernière cérémonie commémorative 32 ans après le décès.
Ākāśagarbha a également une certaine importance dans le bouddhisme Nichiren. Le Seicho-ji (Kiyosumi-dera), temple où étudia le fondateur du courant, fut construit autour d’une statue de ce bodhisattva. Selon le Gosho, recueil de ses écrits, Nichiren vit un jour Kokûzô apparaître devant lui puis se changer en un vieux moine qui lui remit une perle de sagesse.
LE PHURBA
Le Phurba est une dague pour vaincre les démons. Elle fut introduite dans le bouddhisme tibétain par Phadmasambhava et est un symbole de transmutation des forces négatives.
Souvent faite de pierres, d’os, ou encore de fer, les dagues de Phurba des temples tibétains Bouddhisme sont facilement reconnaissables par leur lame à triple face. Utilisé dans les rituels pour chasser les esprits indésirables, le Phurba agit de manière spirituelle pour immobiliser les esprits démoniaques et parfois les tuer dans l’espoir qu’ils se réincarnent en de meilleurs lieux.
Chaque composant du Phurba a sa propre signification. La lame de la dague représente la méthode, avec chacun des trois côtés représentant les mondes à trois esprits. La pointe les réconciliant tous les trois pour former un axe mondial harmonieux. La conception à triple-lames est également destinée à transformer simultanément les trois poisons du monde en énergies positives. Ces poisons sont l’ignorance, l’avidité et l’agression. Des ennemis du Bouddhisme qui peuvent exiger une vie entière à surmonter dans la quête de l’éclaircissement. La lame est souvent vue comme indestructible et allumé avec un feu pour brûler au-dessus de la haine.
La poignée du Phurba représente la sagesse et est souvent modelée comme un bulbe à huit faces avec des nœuds symétriques à chaque extrémité. Il existe diverses interprétations à la présence de ces nœuds. De la conviction que le Nirvana est enfermé à l’intérieur, à la croyance que les différentes sections des nœuds contiennent les paradis de plusieurs dieux. En allant jusqu’au désir d’une forme informe, représentant le fait d’être informe au royaume des Bouddhas.
Le sommet de la poignée affiche souvent les trois divinités courroucées de Yamantaka, Amrita Kundalini, et Hayagriva. Yamantaka, le visage de couleur blanche, symbolise le corps et la destruction de la haine. Amrita, le visage coloré en bleu, symbolise l’esprit et la destruction de l’illusion. Hayagriva, le visage de couleur rouge, symbole de la parole et la destruction de la cupidité.
Dans de nombreuses illustrations, la dague de Phurba est représentée sous une forme simple, en raison de sa petite taille. Cependant, dans sa forme tridimensionnelle, cette lame minuscule est le plus souvent représentée avec de nombreux symboles bouddhistes et démontre sa concentration sur la purge du mal.
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