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pendentif, reliquaire, ghau, bouddha Acala.
Bouddhisme vajrayana tibetain, shingon japonais
8 signes auspicieux du bouddhisme et Dorje tournant grâce à un système de roulement à bille élaboré en Allemagne.
Turquoise de la province du Hubei
En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie (ING), Paris, France. Toutes nos matières sont expertisées et certifiées par nos soins.
Argent 925 poinçonné
Déité argent plaqué or 18k
Cuivre
La vitre protectrice sont réalisées en leuco saphir comme les montres haut de gamme.
Livré avec un cordon réglable agrémenté de perles en argent 925
Livré dans une boite en bois sur mesure.
Dimension du Ghau: 75mm de haut sur 52mm de large sur 15mm d'épaisseur
Poids de 75 grammes.
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Le ghau est une sorte d’autel transportable dans lequel l’image de la divinité d’élection du possesseur est gardée, enveloppée dans des vêtements de soie. La grande majorité des Tibétains utilisent le ghau à la maison et la transporte durant leurs voyages. Ils la gardent sur un véritable autel à la maison. Lors des voyages, elle est accrochée à la ceinture de dos. Il sert de symbole protecteur durant les voyages et permet également à son possesseur de prouver sa dévotion à sa déité.
BOUDDHA ACALA
Acala, chef des Vidyaraja, les 5 rois de la connaissance et des sciences magiques bouddhistes.
Acala, Acalanātha, Achala, Fudō-Myōō en Japonais, Búdòng míngwáng en chinois (不动明王) , tibétain Miyowa.
Acala l'immuable ou « Acalanātha » le maître immuable, est une déité bouddhique du mikkyo, terme japonais signifiant« enseignement ésotérique », désigne le bouddhisme tantrique japonais. Il est pratiqué dans l'école Shingon et dans certaines branches de l'école Tendaï.
Egalement vénéré dans le tantrisme tibétain, mongol et chinois, feu le courant "Tangmi" pour ce dernier, supplanté par le lamaïsme dès la dynastie mongole des Yuans.
il est l'un des cinq Vidyaraja, rois du savoir et de la connaissance, seigneures des sciences magiques, dieux courroucés incarnés par des bouddhas et des bodhisattvas
Protecteurs du Dharma, combattant les démons, et effrayant les êtres souffrants et têtus, ayant des croyances fausses ou nihiliste.
Protecteurs des 5 Dhyani bouddha, ou bouddha de sagesse, appelés également Bouddha de méditation.
Acala, le chef des Vidyaraja ,est associé au feu et à la colère. Surtout représenté au Japon,
Acala, de son nom mystique Jôjû Kongô, "le diamant éternel et immuable", est le destructeur des passions. Dans l'ésotérisme, il est considéré comme un corps de métamorphose (Nirmânakâya) de Vairocana dont il personnifie la fermeté d'esprit et la volonté de détruire le mal.
Il a pour symbole un glaive tenu verticalement et autour duquel s'entoure un dragon entouré de flammes. Son halo de flammes censé consumer les passions. Il est décrit dans nombre de soutra notamment dans le Mahâvairochana- soutra.
Il assumerait, "à l'encontre des obstacles, l'énergie de l'adepte lui même", montrant ainsi la puissance de compassion de Vairocana. Son glaive lui sert à combattre les "trois poisons": avarice, colère et ignorance. De la main gauche il tient une corde (pâsha) pour attraper et lier les forces mauvaises et les empêcher de nuire. Acala ayant fait le voeu de prolonger de six mois la vie de ses fidèles et de leur donner une inébranlable résolution de vaincre les forces du mal, il est parfois, à ce titre, invoqué comme "prolongateur de la vie".
Au Tibet, Acala est appelé Achala- Vajrapani et est un Dharmapala (gardiens des enseignements). Il est représenté avec 4 têtes, quatre bras et et quatre jambes, piétinant les démons. Il tient le glaive, la corde, un vajra et une calotte crânienne.
Son visage exprime une colère extrême, sourcils froncés, œil gauche plissé ou regardant de travers, dents inférieures mordant la lèvre supérieure. Il a le physique d'un enfant corpulent (à ventre rond).
Ses canines sont saillantes, la droite pointant vers le haut, symbolisant le ciel et l'esprit, la gauche vers le bas, la terre et la matière.
Une aura de feu l'entoure complètement (les divinités pacifiques ont une aura semblable à une mer au repos). Il est assis sur un grand rocher symbolisant sa fermeté et sa détermination inébranlable. Il représente l’immuabilité.
Acala est dit être une divinité puissante qui protège les fidèles en brûlant tous les obstacles ( antaraya ) ( 障難 , Shonan ) et (souillures Klesa ) ( 雜染 , zōzen ) , en les aidant ainsi à l' illumination.
À l'origine la divinité Mahayana Acalanātha, dont le nom signifie «protecteur inamovible», Acala a été incorporée au vajrayana en tant que serviteur du Bouddha. Dans le Tangmi (Vajrayana chinois de l'ère Tang), son nom a été traduit par Budong "immobile" ( chin: 不 動 ; Búdòng ).
Puis, la divinité a été importée au Japon comme 不 動 (Fudō ) par Kukai (31 juillet 774 - 22 avril 835) érudit et fonctionnaire à la cour impériale Japonaise (tout début de l'époque de Heian) , saint fondateur de l'école bouddhiste ésotérique Shingon, lors de son voyage en Chine en 804, dans le but de s'initier la forme tantrique du Bouddhisme. Il y rencontra l'éminent érudit bouddhiste Pranja originaire de la région du Gandhara, berceau du Mahayana ou grand véhicule, région située dans le nord-ouest de l'actuel Pakistan. Kukai étudia en Chine en tant que membre de la mission kentoshi.
Des érudits tels que Miyeko Murase affirment que les origines de cette divinité bouddhiste résiderait dans la divinité hindouïste Shiva, auquel il emprunte de nombreux traits,en particulier ses attributs de destruction et de réincarnation.
La divinité a été populaire au cours du Moyen Âge et dans les temps modernes au Népal, au Tibet et au Japon où l'on trouve le plus souvent des représentations sculpturales et picturales de lui. Une grande partie de l'iconographie vient du Japon.
Dans le bouddhisme et l'art tibétains, le Bouddha Akshobya, dont le nom signifie également "l'immuable", préside le clan des divinités auquel appartient Ācala. D'autres sources se réfèrent à l'Acala et à Caṇḍaroṣaṇa comme une "émanation" d'Akshobhya, suggérant une assimilation plus poussée.
Acala évolue en une divinité invoquée dans les rituels bouddhistes pour "effrayer les dieux, les titans, les hommes et détruire la force des démons", et il tue tous les fantômes et les mauvais esprits.
Dans certains textes bouddhistes tels que le Sādhanamālā , les dieux hindous vishnu , Shiva , Brahma et Kandarpa, sont dits "maléfiques" car ils provoquent une renaissance sans fin , et ces dieux sont terrifiés par Acala parce qu'il porte une corde pour les attacher.
Dans les traditions bouddhistes népalaises et tibétaines,Visvajri devient la compagne d'Acala.
Dans les temples bouddhistes Shingon dédiés à Ācala, les prêtres exécutent le Fudō-hō ( 不 動 法 ) , ou service rituel pour obtenir le pouvoir de purification de la divinité au profit des fidèles. Ce rite implique systématiquement l'utilisation du rituel Homa (護 摩 , goma ) comme outil de purification. Rituel dans lequel toute offrande religieuse est transformée en feu.
Dans la mystique Shugendo, courant bouddhiste ésotérique japonais, Les laïcs ou moines en tenue yamabushi suivant une formation rigoureuse en plein air dans les montagnes prient souvent de petites statues Acala ou des talismans portables qui lui servent de honzon.
Ācala est également en tête de la liste des 13 bouddhas ( 十三 仏 , jūsan butsu ) ). Ainsi, les adeptes du Shingon en période de deuil assignent Acala aux sept premiers jours de service mortuaire.
La première semaine est une observation importante, mais peut-être pas autant que l'observation de "sept fois sept jours" (soit 49 jours) signifiant la fin de "l'état intermédiaire" ( bardo ).
Au Japon, Acala est devenu un foyer de culte à part entière, et a été installé comme honzon (本尊) ou divinité principale dans les temples et sanctuaires extérieurs. Un exemple célèbre est le Narita Fudō-dō, un temple de sous-secte Shingon à Narita San .
Le mantra récité en l'honneur de Fudō Myō-ō est en sanskrit
"Namaḥ samantavajrāṇāṃ, caṇḍamahāroṣaṇa sphoṭaya hūṃ traka hāṃ māṃ".
En japonais " Nōmaku samanda bazaradan sendamakaroshada sohataya hun tarata kan man "
LES 8 SIGNES AUSPICIEUX DU BOUDDHISME
Les 8 signes auspicieux du bouddhisme ou Astamangala étaient à l’origine un ensemble d’offrandes indiennes présentées à un roi à son investiture. Le jaïnisme a d’abord repris ces symboles de bon augure probablement avant le bouddhisme.
Dans la tradition bouddhiste, ces 8 signes de bon augure représentent les offrandes présentées par les grands dieux védiques – une civilisation antique d’Inde à l’origine de l’hindouisme – au Bouddha Siddharta après son Eveil. Brahma fut le premier de ces dieux à apparaître avant même la naissance du Bouddha en lui présentant une roue à mille rayons d’or, comme une demande symbolique au Bouddha de transmettre ses enseignements en « tournant la roue du Dharma ». Indra, Seigneur du Ciel et dieu de la guerre et de l’orage – et accessoirement roi des dieux – apparut en suivant, offrant la conque blanche pour que le Bouddha « proclame la vérité du Dharma ».
Dans la tradition bouddhiste, les huit signes auspicieux forment le corps de Bouddha.
le parasol représente sa tête, les deux poissons ses yeux, le vase son cou, le lotus sa langue, la roue en or ses pieds, la bannière de la victoire son corps, la conque sa parole le nœud sans fin son esprit.
Dans la première forme de bouddhisme indien, le Bouddha était peint de manière aniconique, c’est-à-dire sans être représenté sous une forme humaine, généralement par un trône vide sous un parasol et sous l’arbre de la Bodhi ou par une pierre marquée de ses divines empreintes, qui renferment plusieurs symboles auspicieux comme les insignes de la divinité du Bouddha : la bannière de la victoire, le trône de lion, le trident, les Trois Joyaux, le nœud éternel, le svastika, la conque, la paire de poissons et les plus commun, le lotus et la roue.
Le Nœud sans Fin ou Nœud infini tibétain est un symbole bouddhiste qui représente le mouvement de ce qui est éternel, des chemins spirituels qui s’entrelacent et du temps. La forme du Nœud sans Fin est évocatrice de la sagesse et la compassion dans le bouddhisme tibétain. Le haut et le bas du symbole symbolisent l’interaction des forces opposées et duelles, qui finalement se rejoignent et s’unissent dans l’univers. Le nœud infini tibétain représente également l’inséparabilité du Vide et la réalité de l’existence. Enfin, puisque le Nœud n’a ni début ni fin, on le définit aussi comme la Sagesse de Bouddha
Instrument traditionnel du Tibet, la conque est considérée comme étant le symbole de la puissance de la parole du bouddha. La conque dextrogyre s´enroule vers la droite et est la plus rare et la plus propice a la pratique du bouddhisme tibétain. Elle symbolise le son du Dharma qui éveille les êtres du sommeil de l’Ignorance, les incitant ainsi à accomplir leur propre bien pour le bien des autres. Elle est également la protection du Joyau du Dharma, la progression d'étapes en étapes vers la réalisation ultime, l'Eveil ou Illumination.
La roue du Dharma reste le symbole le plus important du bouddhisme tibétain, il symbolise la loi bouddhiste ainsi que l’enseignement du Bouddha qui fût le premier à mettre en mouvement cette Roue. La Roue du Dharma représente l’éternel mouvement du cycle des renaissances (ou karma). C’est également la continuité des enseignement du Bouddha, sous toutes ses formes et dans toutes les directions, enseignement qui mènent au Bonheur et à la libération On représente souvent la Roue du Dharma avec quatre ou huit branches, incarnant les Quatre Nobles Vérités et les Huit Marches.
Symbole de pureté absolue et de l’Eveil, emblème de l’élévation spirituelle, le lotus a la particularité de prendre racine dans la vase ou la boue, sa tige baignant dans l’eau tandis que sa fleur s’épanouit majestueusement sur l’eau. Le lotus représente l’élévation de l’âme, d’abord purement matérialiste au travers de ses racines, puis goûtant l’expérience de l’eau au travers de sa tige, pour enfin parvenir à l’illumination et l’éveil au travers de sa fleur.
Les bouddhistes tibétains voient au travers du Lotus la véritable nature des Etres, la tige étant le samsara (cycles des vies et morts), la fleur symbolisant la paix et la sérénité.
La bannière de victoire tibétaine est le symbole de l’enseignement de Bouddha, le triomphe sur l’Ignorance, la doctrine de Bouddha sur les forces du Mal : la passion, la peur de la mort, la fierté et la luxure.
Elle symbolise particulièrement le renoncement du Bouddha à toutes les perturbations mentales et apparences illusoires du samsara.
Le vase aux Trésors représente une multitude de richesses, intellectuelles et de prospérité. C’est un symbole tibétain de longue vie et d’abondance.
Il symbolise également la discipline morale, l'étude et la mise en pratique du Dharma, notamment par le bien que l'on peut porter aux autres et le développement de l'altruisme.
Lorsque vous portez un bijou tibétain représentant le vase aux trésors (ce n’est pas par hasard si ces pendentifs sont souvent dit « ghau » ou « gao », tout simplement parce qu’on peut les remplir), pensez à glisser à l’intérieur tout ce que vous pensez être bénéfique pour vous et tous les êtres vivants. Cela peut être des mantras tibétains, ou des photos de personnes qui sont particulièrement importantes pour vous, ou des pensées ou prières…
A l’origine, les deux poissons étaient le symbole de la rivière Yamuna et du Gange, mais ils sont devenus le symbole de la bonne fortune par la suite pour les hindous et les bouddhistes. Chez les bouddhistes tibétains, le poisson d’Or représente les êtres vivants qui pratiquent le dharma, et qui ne doivent pas craindre de se noyer dans l’océan de souffrance, puisqu’ils peuvent librement nager comme le font les poissons dans l’eau, afin de choisir leurs renaissances.
Le parasol symbolise l'activité qui protège des hommes de tous les maux : maladies, accidents, esprits malins. Elle protège également les êtres des mondes inférieurs. Dans le bouddhisme tibétain, l’ombrelle nous protège contre la souffrance. L’ombrelle tibétaine est garante de la sagesse.
D'un point de vue bouddhiste, l'ombrelle représente une forme de protection et de bienvenue envers quiconque aimerait entrer dans la voie du Dharma et progresser sur le chemin de l'Illumination.
LE VAJRA OU DORJE
Le Vajra, en tibétain dorjé. C'est sans doute le symbole le plus important du bouddhisme tibétain. Le terme signifie "diamant" et désigne la nature indestructible de l'esprit en soi, l'éveil, qui est à la fois impérissable et indivisible. Le petit sceptre semble être, à l'origine, le foudre de diamant du dieu Indra, c'est une marque de royauté et de puissance.
1° les cinq pointes supérieures représentent les cinq sagesses, cinq facettes du diamant qu'est l'esprit éveillé:
la sagesse semblable au miroir, qui signifie que l'esprit éveillé, tout comme un miroire parfaitement poli, reflète nettement toutes choses, possède la capacité de tout connaître, sans aucune confusion.
la sagesse de l'égalité, qui reconnaît que tous les phénomènes du samsara (me monde ordinaire) et du nirvana (les champs purs ou paradis des bouddhas) sont d'une nature égale en ce sens qu'ils sont d'une essence unique: la vacuité
la sagesse de la distinction, qui dénote que l'esprit éveillé perçoit non seulement la vacuité de tous les phénomènes (ce qu'opère la sagesse de l'égalité) mais aussi, dans une simultanéité sans confusion, tous les phénomènes tels qu'ils se manifestent;
la sagesse accomplissante, qui permet aux bouddhas de créer des champs purs et des émanations oeuvrant pour le bien des êtres;
la sagesse de l'espace universel, qui indique que tous les phènomènes, au-delà de tout concept et de toute dualité, demeurent dans la connaissance pure de l'esprit.
2° En même temps que les cinq sagesses, ces cinq pointes supérieures symbolisent les Cinq Vainqueurs ou cinq principaux Bouddhas Masculins sur un plan mystique. Les cinq pointes inférieures symbolisent les Cinq Bouddhas Féminins.
3° Les bouches de makara (monstre marin) dont émergent les pointes dénotent la libération du cycle des existences.
4° Les huit pétales supérieures représentent les huit bodhisattvas masculins, autrement dit huit grands bodhisattvas demeurant dans des domaines célestes.
5° Les huit pétales inférieures sont les huit bodhisattvas féminins.
6° La partie ronde au milieu désigne la vacuité.
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